Je dédie cette chanson à tous les sales types qui jouent
au "ball trap vivant", le dimanche matin dans ma
campagne sois-disant "préservée". Et je la dédie particulièrement
à celui de ce matin qui, derrière son pare-brise de voiture,
attendait que s'en aille vers sa pseudo-liberté le pauvre
petit lapin noir qu'il venait de lâcher pour mieux
le "dégommer" par la suite.
Et je ne peux m'empêcher de repenser au faisan que j'avais
récupéré dans mon sac de sport afin de lui éviter le même
scénario. Un voisin m'ayant surprise, j'avais été contrainte
de le rendre aux chasseurs...
Finalement, je préfère dédier cette chanson à tous les petits lapins,
faisans et autres lièvres sacrifiés sur l'autel de la connerie humaine.
C'est plus juste !
Merci Henri Tachan !