Aujourd'hui encore nous avons eu le privilège de profiter du soleil. Aucun nuage n'encombrait l'azur du ciel et la petite brise qui taquinait mes cheveux me rappelait...oui c'est ça : l'air marin, les vacances encore si proches...
Nous avons passé, Bernard et moi, une heure de détente sur la chaise longue à méditer, les sens en éveil, avec l' avidité de saisir à l'infini les présents d'un été réticent à vouloir partir.
Du coup, je suis allée travailler en robe de vacances (voir l'article "séance de coupe de cheveux" ) A la répétition de ce soir, elle a fait sensation cette "robette" qui, lorsque je l'avais achetée avait fait froncer le nez et lever les sourcils à mes proches.
Mon côté espagnol, un peu gitan, l'emporte parfois et, dans ces moments où l'enthousiasme déborde, je ne crains pas l'excentricité ( enfin surtout parce que mes jambes sont encore un peu bronzées !).
J'ai placardé la photo des petits chatons au théâtre, essayé de les caser de vive voix, mais cela n'a rien donné.
-Evelyne, ( ma voisine : c'est elle qui les a trouvés sous des feuillus. En ce promenant avec son mari, un petit miaulement a attiré son attention... ) c'est plus difficile que je ne le pensais, mais on va y arriver !
La nuit porte conseil...
Elle est fraîche en ce moment la nuit! Fraîche au point de me faire tousser à m'en décrocher les poumons . Donc, je cours de ce pas allumer le chauffage et vous dis à demain...